Le collectif contre la vie chère se mobilise en Martinique

En Martinique, les syndicats se réunissent pour maintenir la pression et pour obtenir gain de cause.
Article rédigé par Outre-Mer La 1ère - Edwige Saint-Thomas
Radio France
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Temps de lecture : 4 min
Gabriel Jean-Marie (secrétaire général de la CGTM), Rodrigue Petitot, président du RPPRAC et Philippe Pierre-Charles (CDMT) à la maison des syndicats à Fort-de-France. (MARC-FRANCOIS CALMO / MARTINIQUE LA 1ERE)

En Martinique, le collectif contre la vie chère fait pression pour obtenir un alignement des prix sur ceux de l’Hexagone. Les discussions de ces derniers jours avec les acteurs qui interviennent dans la fixation des prix ont été très encourageantes de l’aveu même du Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro caribéens, collectif à l’origine de la mobilisation.  

Pas de quoi toutefois mettre fin au mouvement pour le moment. Les militants étaient sur le terrain vendredi 27 septembre, pour distribuer des tracts aux automobilistes. Parmi eux, Gabriel Jean-Marie, secrétaire général du syndicat local CGTM.

La "Fête de la citoyenneté" en Nouvelle-Calédonie

En Nouvelle-Calédonie, la fête de la citoyenneté n’a finalement pas dégénéré, malgré ce qu’on pouvait craindre. Il faut dire que pour éviter les débordements un important dispositif avait été déployé sur le territoire calédonien. Les autorités redoutaient que la situation ne s’aggrave à nouveau mardi 24 septembre, à l’occasion de cet évènement qui commémore la prise de possession du Caillou par la France, en 1853.

Des coraux menacés par un animal venimeux

On reste en Nouvelle-Calédonie pour parler de l’acanthaster. Cet animal recouvert d’épines venimeuses décime les coraux et menace l’équilibre fragile des écosystèmes marins du territoire. Les chercheurs tentent de comprendre l’ampleur de cette invasion, et d’en limiter les effets dévastateurs. Reportage de Marion Tellier, Nouvelle-Calédonie La 1ere.

Le tifaifai : un emblème du savoir-faire polynésien

Le tifaifait ou "couverture cousue" en langue tahitienne est fait à la main et se vend toujours très bien en Polynésie. En pleine semaine du tourisme à Paea, commune de la côte ouest de Tahiti, les artisanes qui maîtrisent les techniques ont pu former de nouveaux apprentis. Et pour pouvoir faire l’acquisition d’un tifaifai, il faut compter entre 250 et 800 euros. Reportage de Nicolas Suire de Polynésie la 1ere.

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