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Du médiateur en dictateur africain

L'essence même de l'information, la vérification des sources et les problèmes de vocabulaire attirent toujours l'attention des auditeurs de France Info. Jérôme Bouvier et Jean-Christophe Martin reviennent sur quelques exemples - très différents - de messages reçus.
Article rédigé par Jérôme Bouvier
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 5 min
Franceinfo (Franceinfo)

Les messages d'auditeurs qui arrivent tous les jours dans la boîte mail du service du médiateur et sur le site Espace Public sont aussi nombreux que différents, pour la forme et pour le contenu. Même si nous vantons assez souvent les mérites de la démocratie numérique, il ne faut pas oublier qu'il y a des limites à tout.

Entre "France Intox" et le médiateur qui "rappelle les affiches de dictateurs africains, au service de la campagne mondiale de désinformation", force est de constater que les messages reçus ne sont pas toujours caractérisés par une grande pertinence.

D'autres apportent, en revanche, des précisions et mises en garde fondées et précieuses pour l'antenne, comme, par exemple, pour le récent canular sur le cas d'une traductrice en language de signes de la BBC qui aurait été licenciée pour avoir mal traduit certains propos. L'occasion pour Jean-Christophe Martin de rappeler qu'il faut rester vigilant - et méfiant - face aux informations qui circulent sur internet.

Appel à la vigilance également pour le choix du vocabulaire, et notamment la récurrente confusion entre les termes "charges", "contributions sociales" et "côtisations", les charges représentant la contrepartie d'un service.

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