Lundi 25 juillet, l’OMS prend des dispositions contre la variole du singe en déclenchant l’alerte maximale. Cette épidémie a déjà touché 1 567 personnes en France.
L’inquiétude monte au fur et à mesure que les cas de varioles du singe se multiplient, lundi 25 juillet. La maladie est reconnaissable par les éruptions cutanées qu’elle provoque sur la peau, mais ce n’est pas tout, puisque l’épidémie déclenche aussi de la fièvre chez les personnes ayant contracté le virus. "C’est au fur et à mesure que les symptômes se sont aggravés, que j’ai eu beaucoup de fièvre", explique un juriste ayant été touché par la maladie.
L’OMS prend très au sérieux l’épidémie
Si la variole du singe guérit toute seule après trois semaines de maladie, c’est la contagiosité du virus qui préoccupe l’OMS. "Nous sommes en présence d’une épidémie qui s’est propagée rapidement dans le monde entier par de nouveaux modes de transmissions dont nous ne savons pas grand-chose. Pour toutes ces raisons, j’ai décidé que l’épidémie de variole du singe représente une urgence de portée internationale", affirme un docteur de l’OMS. Un vaccin d’une efficacité mesurée à 85 % existe, mais les vaccinations ne sont pas assez importantes à cause du manque de créneau.
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