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De l'Essec à l'humanitaire : l'aventure hors norme de Louis Meunier

En 10 ans, les effectifs des écoles de commerce ont augmenté de 50%. Mais tous les diplômés de se tournent pas vers la finance ou le marketing, comme en témoigne le parcours hors norme de Louis Meunier. Il le raconte dans Les cavaliers afghans...
Article rédigé par Emmanuel Davidenkoff
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Franceinfo (Franceinfo)

Présentation des Cavaliers afghans par l'éditeur (Kero) :

" Dans ce pays sans âge, on ne parle pas en nationalités, mais en peuples. On ne compte pas en kilomètres, mais en jours de route. Quand on se quitte, on se dit Zenda Bashi , sois vivant, parce que l’existence est incertaine. »

 

En 2002, Louis Meunier, tout juste diplômé, décide de plaquer une carrière tracée d’avance et de partir à l’aventure en Afghanistan. Il est ébloui par la beauté du pays et la dignité de ses habitants. Mais surtout, fasciné par la lecture des Cavaliers de Kessel, il rêve d’assister à un buzkashi, tournoi où les cavaliers ont droit à tous les coups pour déposer dans le cercle de justice, une dépouille de chèvre. Ces cavaliers redoutables, les tchopendoz, ne craignent ni les blessures ni la mort. Les combats sont d’une violence inouïe. Louis n’aura bientôt plus qu’une idée en tête : trouver le cheval de ses rêves pour, à son tour, devenir tchopendoz."

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