Policière tuée à coups de sabre : abolition du discernement du meurtrier présumé
Le rapport d'expertise psychiatrique concernant le meurtrier présumé d'une policière tuée en octobre dernier à Bourges d'un coup de sabre japonais conclut à "une abolition du discernement". Olivier Roson, un enseignant de 33 ans, est donc inaccessible à toute sanction pénale.
Mécontent à cause d'un refus de permis de port d'arme à feu par la préfecture, il s'y était rendu armé d'un sabre. Il a tué une policière de 30 ans et blessé un de ses collègues et un employé de la préfecture, avant d'être maîtrisé par un tir dans le genou.
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