Cet article date de plus de deux ans.

MotoGP : Fabio Quartararo 6e sur la grille en Argentine, Aleix Espargaro signe la pole position

Fabio Quartararo s'élancera de la deuxième ligne au GP d'Argentine, dimanche.

Article rédigé par franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Fabio Quartararo lors des essais du GP d'Argentine, le 1 avril 2022. (GIGI SOLDANO / STUDIO MILAGRO)

Déception pour Fabio Quartararo. Le champion du monde français de MotoGP ne s'élancera qu'en deuxième ligne du Grand Prix d'Argentine, dimanche 3 avril. Sur sa Yamaha, le Français n'a obtenu que le sixième temps des qualifications sur le circuit de Termas de Rio Hondo. L'autre Tricolore, Johann Zarco, s'élancera du 9e rang sur sa Ducati.

La pole position revient à l'Espagnol Aleix Espargaro, qui a signé samedi en Argentine la toute première pole position de son équipe Aprilia en MotoGP. Et pas n'importe comment, puisqu'il a signé un temps à seulement cinq millièmes du record de la piste. Il devance son compatriote Jorge Martin (Ducati-Pramac) et l'Italien Luca Marini (Ducati-VR46).

Espargaro, 32 ans, avait déjà signé deux fois la pole, mais sur une Yamaha en 2014 et une Suzuki en 2015, avant de rejoindre Aprilia en 2017. La marque italienne avait fait son retour en MotoGP en 2015, après une première période en catégorie reine de 1994 à 2000 (500cc) puis de 2002 à 2004 (MotoGP). Elle vise désormais sa première victoire en MotoGP, catégorie créée en 2002.

Déception en revanche pour le vice-champion du monde italien Francesco Bagnaia qui partira 14e. Déjà forfait en Indonésie il y a quinze jours après une chute très violente lors du warm up en Indonésie, Marc Marquez (Honda) est encore absent.

A noter que ces essais ont été perturbés par le retard d'un avion de fret provenant d'Indonésie, qui contenait une partie de l'équipement des écuries à la suite du dernier Grand Prix. La première séance d'essais, initialement prévue vendredi à 10h50, n'a débuté que samedi à 12h35 en Argentine.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.