Le patron de la Formule 1 Bernie =Ecclestone a admis qu'il ne pouvait pas obliger les écuries à aller à Bahreïn, où l'organisation du GP le 22 avril fait l'objet de réserves en raison de la situation politique dans le pays. "Nous n'avons aucun moyen de forcer les gens à y aller. Nous ne pouvons pas dire: +vous devez y aller+. Ils ne respecteraient pas leur accord avec nous en n'y allant pas, mais cela ne changerait rien. Commercialement, ils doivent y aller."
"Nous ne sommes pas impliqués dans la politique à Bahreïn et (nous ne pouvons dire) qui a raison et qui a tort. Quand on se rend dans un pays, on doit respecter la façon dont il est dirigé, ainsi que ses lois", a-t-il ajouté. "Ce sont les autorités sportives de ce pays qui peuvent dire: +nous préférons ne pas organiser cette compétition+. Le promoteur pourrait aussi le dire si c'est trop risqué", a déclaré Ecclestone.
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