Pirelli sur le départ
Pour Paul Himbery, la situation doit changer et "les pilotes doivent s'impliquer dans notre programme de tests". "C'est essentiel si on veut continuer en F1", a-t-il insisté, ajoutant: "Avec l'idée d'adopter des pneumatiques plus larges, l'équipementier doit avoir la possibilité de développer un produit permettant d'offrir les conditions requises".
Fin août, Vettel, pilote allemand de Ferrari, contraint à l'abandon à deux tours de la fin du Grand-Prix de Belgique, avait qualifié de "lamentables" les pneus Pirelli qui, selon lui, menacent la sécurité des pilotes.
La firme milanaise, équipementier unique et régulièrement pointé du doigt par les pilotes qui doutent de la qualité des gommes, avait rétorqué que "les essais effectués par Pirelli sur les pneus utilisés à Spa ont confirmé l'absence de problèmes structurels".
Pirelli et le Français Michelin ont déposé leur offre pour le prochain contrat de trois ans débutant en 2017.
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