Barcelona World Race : Dick et Peyron vont réparer à Wellington
L'objectif est de remplacer deux chariots de lattes qui ont cassé. "Nous avons remplacé les deux pièces cassées en fin d'après-midi. Nous n'avons plus de spare pour terminer la course et n'avons plus confiance en elles. Nous avons une épée de Damoclès sur la tête car elles sont incontournables pour terminer la deuxième moitié du Tour du Monde. Sans elles, on ne peut pas naviguer", a raconté Jean-Pierre Dick dans un communiqué de son service de presse. "Continuer est prendre un risque important. S'arrêter est la meilleure solution même si c'est une décision difficile à prendre car on prend 48h de pénalité. Nous devrions repartir quasiment en même temps que nos poursuivants. C'est une nouvelle course qui commence comme nous l'avons connue à Recife ! Nous ne lâcherons rien", conclut-il.
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