Reims fait plier Monaco
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Certes, Claudio Ranieri avait choisi de faire tourner et la formation monégasque alignée manquait sans doute un peu de repère et d'automatismes. Mais elle a tout de même déçu en étant que trop peu capable de réagir face à l'engagement des Rémois, qui ont marqué le but décisif avant la pause par Devaux, reprenant d'une belle tête un centre de Atar. (34e)
Tout de suite après ce but, l'ASM. est sortie de sa torpeur en se créant deux occasions, d'abord par Kondogbia dont la frappe trouvait la transversale de Placide, le gardien remplaçant de Reims se trouvant tout de suite après dans une autre situation inconfortable sur un centre d'Ocampos, sur lequel heureusement pour Reims aucun attaquant de Monaco ne pouvait intervenir.
Placide fait son show
Placide allait d'ailleurs être l'un des artisans de la victoire rémoise en deuxième période, en s'interposant avec autorité sur plusieurs actions chaudes, devant Rivière et Poulsen notamment. Et il était sauvé une nouvelle fois par son poteau sur une grosse frappe de Fabinho. Mais Monaco attaquait de façon trop sporadique pour complètement faire douter une équipe rémoise sans complexe, et très solide au milieu, dans la conservation du ballon comme pour lancer des offensives qui auraient pu faire mouche par Deveaux encore, Charbonnier, ou Krychowiak.
Finalement le Stade de Reims parvenait à conserver son petit avantage, s'offrait le luxe de faire céder Monaco pour la première fois de la saison, et de s'offrir une place en 8e de finale d'une Coupe qui les inspire.
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