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"Ça évitera d’avoir la tête ailleurs" : comment le clasico peut aider le PSG à se préparer pour la Ligue des champions

Le PSG accueille l'OM dimanche en championnat, puis à nouveau le 28 février en Coupe de France. Ces affiches tombent à pic avant le match retour de Ligue des champions, face au Real, le 6 mars, d'après Alain Giresse, consultant de franceinfo. 

Article rédigé par Sébastien Hazard
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
Au match aller en championnat, le 22 octobre 2017, le PSG et l'OM avaient fait match nul 2-2. (MAXPPP)

Le Paris Saint-Germain accueille l'Olympique de Marseille, dimanche 25 février, en championnat. Le 22 octobre dernier, à Marseille, les deux équipes avaient fait match nul 2-2. Ce nouveau clasico sera suivi d'un autre PSG-OM le 28 février, cette fois en Coupe de France. Deux affiches qui tombent à pic avant le match retour de Ligue des champions contre le Real Madrid, le 6 mars. 

Deux PSG-OM en quatre jours

Le clasico a fait l’objet de la meilleure des préparations, dans les rangs parisiens. Le PSG ne souhaite pas sombrer au Parc des Princes. Voilà qui ferait désordre par rapport au message délivré en boucle depuis la défaite à Madrid, en Ligue des champions. Le club martèle que le PSG est invaincu dans son stade : 17 matches et 17 victoires depuis le mois d'août. L'équipe parisienne ne tient pas à chuter, surtout face à son rival historique, mais jouer l'OM, c'est un atout, analyse Alain Giresse, consultant football de franceinfo. "Ça évitera de tergiverser et d’avoir la tête ailleurs", assure-t-il.  

Jouer Marseille, ça réclamera de la part des joueurs de l’engagement, une concentration un peu plus importante que si c’était un club moins marquant en termes d’opposition.

Alain Giresse, consultant football de franceinfo

à franceinfo

De l'opposition qui sera resservie dès mercredi 28 février avec cette fois un PSG-OM en quarts de finale de Coupe de France. Il n'y a pas pour autant de risque de blessures plus important, reprend Alain Giresse : "La blessure peut arriver aussi dans une forme de relâchement, de moindre concentration, de désintérêt du match à jouer, analyse le consultant. C'est là qu'on peut se blesser." 

Ces deux rencontres face à Marseille sont importantes aussi pour la gestion des joueurs. Elles donnent certainement l'occasion à l'entraîneur parisien d'affiner ses choix. Unai Emery a rappelé qu'il avait beaucoup d'options et il n'est pas certain qu'il ait déjà arrêté le onze de départ qui débutera le 6 mars prochain face au Real...

Deux matches face à son rival historique pour le PSG, avant d'affronter le Real - un reportage de Sébastien Hazard

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