Coupe du monde 2018 : "On doit être prêts", assure Didier Deschamps depuis la Russie
C'est parti : l'équipe de France a atterri à Moscou dimanche soir, après une préparation de 18 jours globalement réussie, avec deux victoires mais aussi un nul samedi contre les modestes États-Unis (1-1).
Ce qu'il faut savoir
Alors que les Bleus sont engagés dans la dernière ligne droite, Didier Deschamps donne, lundi 11 juin, sa première conférence de presse depuis la Russie où le Mondial de foot débutera officiellement jeudi. Le sélectionneur des Bleus donne cette conférence dans le monastère de la Nouvelle Jérusalem d'Istra (dans les environs de la capitale russe), fondé au XVIIe siècle. Dans la foulée, la sélection nationale étrennera dans la foulée son stade d'entraînement situé à Glebovski.
L'étape suivante est prévue jeudi, lorsque les vice-champions d'Europe reprendront l'avion, direction Kazan. C'est là que, samedi prochain, ils affronteront l'Australie pour leurs grands débuts dans la Coupe du monde (groupe C), quatre ans après avoir atteint les quarts de finale, battus à cette hauteur 1-0 par les futurs champions du monde allemands.
Un adversaire supposé le plus faible du groupe, avant d'affronter le Pérou et le Danemark, mais à ne pas négliger pour autant : les Socceroos viennent de battre la République tchèque 4-0 et la Hongrie chez elle 2-1. Et en mars, ils avaient neutralisé la Colombie (0-0), qui venait de s'imposer 3-2 au Stade de France...
Dimanche, Didier Deschamps a levé le voile sur son onze de départ au Tatarstan, avec une titularisation "fort probable" de Paul Pogba, auteur d'un bon match contre les Américains après une prestation bien plus terne face aux Italiens. La question se porte désormais sur un autre cadre de l'entrejeu, Blaise Matuidi, concurrencé par Corentin Tolisso. Mais aussi sur Olivier Giroud, menacé par Ousmane Dembélé.