Match France-Israël : "Le risque" est "d'avoir des débordements" en dehors du stade, estime le président de l'Association des métiers de la sécurité

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 10min
Match France-Israël : "Le risque" est "d'avoir des débordements" en dehors du stade, estime le président de l'Association des métiers de la sécurité
Match France-Israël : "Le risque" est "d'avoir des débordements" en dehors du stade, estime le président de l'Association des métiers de la sécurité Match France-Israël : "Le risque" est "d'avoir des débordements" en dehors du stade, estime le président de l'Association des métiers de la sécurité (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - J.-B. Marteau
France Télévisions
franceinfo
Un dispositif de sécurité XXL sera mis en place pour le match de football France-Israël, qui se tiendra au Stade de France dans la soirée du jeudi 14 novembre. Invité de la matinale de franceinfo, Sofiane Aboubeker, président de l'Association des métiers de la sécurité, fait le point sur la sécurisation de la rencontre.

Un match de football de Ligue des nations opposera, jeudi 14 novembre, la France à Israël au Stade de France. Une rencontre placée sous très haute surveillance, à la suite des violences contre des supporters israéliens survenues la semaine dernière à Amsterdam (Pays-Bas). 4 000 policiers et gendarmes et 1 600 agents de sécurité seront mobilisés.

"On a sécurisé les Jeux olympiques, qui étaient un événement sécuritaire majeur, donc ce n'est pas un événement très compliqué à sécuriser en tant que tel", affirme Sofiane Aboubeker, président de l'Association des métiers de la sécurité, sur franceinfo. "La vraie difficulté, ça va être de pouvoir traiter les débordements éventuels en dehors du stade", estime-t-il.

"Un travail d'arrache-pied" du renseignement

"Le risque, c'est, soit avant, soit après, soit pendant le match, d'avoir des débordements aux abords du stade ou dans les rues de Paris", expose Sofiane Aboubeker. "Les services de renseignement font un travail d'arrache-pied aujourd'hui pour pouvoir prévenir, anticiper, détecter ces comportements, notamment sur différents réseaux, (...) pour interpeller les personnes avant même que les actes/troubles soient commis", assure le président de l'Association des métiers de la sécurité.

Regardez l'intégralité de l'interview dans la vidéo ci-dessus.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.