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Ibrahimovic et le PSG font le travail en s'imposant à Bastia (0-2)

Après deux semaines de trêve internationale, un doublé de Zlatan Ibrahimovic dans les vingt dernières minutes a permis au PSG de s’imposer à Bastia (0-2) samedi après-midi, lors de la 10e journée de Ligue 1. Sans forcer, privé de cinq titulaires, le leader parisien s’offre provisoirement 8 points d’avance en tête du classement. Et peut se tourner vers la réception du Real Madrid mercredi soir, en Ligue des champions.
Article rédigé par franceinfo
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Ce n’était pas un grand PSG. A sa décharge, sans doute avait-il déjà la tête à la Ligue des champions. Toujours est-il que quatre jours avant de recevoir le Real Madrid, Paris a fait le job. Autrement dit, il a pris 3 points à Bastia (0-2). Un doublé de Zlatan Ibrahimovic, sur un service d’Edinson Cavani (72e) puis un autre de Serge Aurier  (83e), ont fait plier les Corses dans le dernier quart d’heure. On avait laissé le Suédois sur un doublé face à Marseille (2-1). Samedi, le meilleur buteur de l’histoire du club de la capitale a confirmé son retour : le voilà à 6 buts en 4 matches. Offrant au leader de Ligue 1 un 4e succès de rang et provisoirement 8 points d’avance sur ses deux poursuivants, Angers et Caen.

Mais au risque de se répéter, l’équipe de Laurent Blanc n’a pas forcé pour la 200e de son entraîneur en Ligue 1. Les absences de Trapp, David Luiz, Verratti, Matuidi et Di Maria ont accentué l’impression que la machine parisienne ronronnait à Furiani. Salvatore Sirigu, lui, n’a pas eu beaucoup à s’employer pour sa première titularisation de la saison. Le gardien italien s’est tout de même illustré sur une relance hasardeuse pour Marquinhos, interceptée par Marquinhos… et sauvée par un arrêt du pied (27e).

Offensivement, le PSG s’est montré pour le moins discret avant la pause. Seules opportunités à signaler : une tête plongeante de Pastore aux six mètres (21e), et un raté d’Ibrahimovic au second poteau, sur un centre de Maxwell (40e). Au retour des vestiaires, le Suédois a affiché un visage nettement plus entreprenant. En attestent son but logiquement refusé pour hors jeu (47e) et sa tête lobée, juste à côté (56e). Il a fini par faire plier la défense bastiaise. Depuis deux mois, le Sporting est à la peine. Le revers concédé samedi est son 6e en 7 matches.

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