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Ligue 1 - Alexandre Lacazette (Lyon) : "C'est la délivrance"

L'attaquant de Lyon, Alexandre Lacazette, qui a marqué contre Reims (1-0) samedi au stade de Gerland, son deuxième but cette saison er le premier dans le jeu, a évoqué "une délivrance" et un "poids qui sort", espérant que ce sera un "déclic pour la suite".
Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 2min
Alexandre Lacazette après son but contre Reims. (JEFF PACHOUD / AFP)

Drôle de semaine : non sélectionné en équipe de France et buteur contre Reims ?
Alexandre LACAZETTE : Oui, ce sont les choix du sélectionneur. Il faut les respecter. Je n'ai qu'à travailler pour être retenu la prochaine fois. Je préfère parler du match contre Reims. Nous avons livré une bonne première période, mais c'était moins bon en seconde, au cours de laquelle nous avons un peu reculé. L'essentiel, ce sont les trois points.
   
Il n'y a rien de simple pour vous en début de saison. Comment avez-vous vécu cette fin de première période ?
A.L. : Je tire ce penalty avec beaucoup d'envie et le ballon part sur la barre. Forcément, je ne peux pas la retoucher derrière. Je commence à cogiter, à me dire que 'Ce n'est pas possible, qu'est-ce qui se passe?'. Heureusement,  j'ai une occasion derrière et je la concrétise. C'est la délivrance. Enfin, un poids qui sort. Je n'avais pas envie que cela reproduise le match contre La Gantoise, avec un bon match de l'équipe et que ma performance l'empêche de gagner ou de prendre les trois points. Les chants du kop m'ont fait du bien. Il y a eu quelques fois au cours desquelles j'ai été sifflé, peut-être pas par le virage nord, mais le reste du public. Savoir qu'ils étaient là, qu'ils m'ont soutenu, cela m'a fait plaisir".
   
Hubert Fournier a dit que c'était important pour vous de marquer dans le jeu.
A.L. : Oui, c'était important, ce sont des moments importants pour un attaquant. Quand le président dit que c'est mon rôle, que c'est surtout à moi de marquer, il a raison. Quand je marque, je suis heureux. C'est ce que j'ai pu faire cet après-midi. J'espère que c'est de bon augure pour la suite. J'espère que c'est le déclic. J'espère aussi que cela me permettra de passer quinze jours libéré et de bien travailler avec mes coéquipiers.

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