Cet article date de plus de six ans.

Ligue 1 : L’OM bute sur Montpellier et laisse passer Lyon

Dans un match assez terne, l'Olympique de Marseille a concédé un nul 0-0 face à Montpellier, en clôture de la 32e journée de Ligue 1. L’OM qui aurait sans doute pu bénéficier d’un pénalty à dix minutes de la fin, cède sa place de troisième à Lyon en raison d’une moins bonne différence de buts (+33 contre + 26).
Article rédigé par franceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
Lucas Ocampos entre les Montpelliérains (FRANCK PENNANT / AFP)

Quelques heures après le large succès obtenu par Lyon à Mets (5-0), l’OM se devait de répondre présent. Alors virtuellement dépassé par le club rhodanien, Marseille n’avait d’autre choix que de s’imposer. Problème, le voisin montpelliérain qui reste en lice pour la Ligue Europa allait vendre chèrement sa peau…

Marseille prenait le jeu en main, comptant jusqu’à 80% de possession de balle, mais sans toutefois se montrer dangereux. Rares étaient les occasions franches, et il fallait bien attendre la 55e minute pour enfin, assister à une première action intéressante. Sur un bon enchaînement, Sanson tentait sa chance du gauche mais son tir à ras de terre terminait sur le montant de Lecomte.

Un pénalty non sifflé

Les Phocéens tentaient de mettre un peu plus de rythme dans la fin de rencontre, et Mitroglou butait sur le dernier rempart adverse (67e). A dix minutes de la fin, l’attaquant grec était fauché par Hilton dans la surface, mais l’arbitre M. Lesage ne bronchait pas, au grand dam de Rudi Garcia qui avait bien du mal à contenir sa colère…

Njie avait au bout du pied la balle de match, mais sa reprise de volée à bout portant s'envolait dans le ciel marseillais (90e). Le match s'emballait (enfin) et Camara ratait lui aussi la balle de match dans les arrêts de jeu. Détenteurs européens du plus grand nombre de matches nuls cette saison, les Héraultais enchaînait un 16e résultat de parité (le 6e 0-0). Et l’OM voyait l’OL lui chiper sa place de troisième.

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.