Cet article date de plus de huit ans.

Lille : Michel Seydoux confirme avoir reçu une offre de Gérard Lopez pour le rachat du club

Le président du club de Lille Michel Seydoux "confirme avoir reçu une offre ferme" de rachat de Gérard Lopez et apportera une réponse "dans les meilleurs délais après étude approfondie", indique le Losc samedi dans un communiqué. "Michel Seydoux confirme avoir reçu une offre ferme de la part de l'homme d'affaires hispano-luxembourgeois pour le rachat du LOSC", écrit le LOSC sur son site internet.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
 

"Une réponse à cette offre de rachat sera adressée à Gérard Lopez dans les meilleurs délais après étude approfondie et consultation des actionnaires du LOSC et des différentes parties impliquées", poursuit le club, qui souligne "l'efficacité des échanges" depuis l'annonce le 16 octobre dernier de l'ouverture d'une négociation exclusive entre les deux parties. Vendredi soir, deux heures avant la rencontre de championnat Lille-Lyon, perdue (1-0) par les Dogues et à laquelle il a assisté, M. Lopez avait annoncé avoir transmis une proposition à M. Seydoux pour racheter le club nordiste, précisant dans son communiqué que "la finalisation du rachat devrait intervenir avant la fin de l'année."

L'homme d'affaires hispano-luxembourgeois, qui était accompagné vendredi de Marc Ingla et Luis Campos, pressentis pour devenir respectivement directeur général et directeur sportif du Losc, est venu saluer le vestiaire lillois à l'issue du match face à l'OL. Lille a enregistré sa neuvième défaite de la saison, la quatrième à domicile, et végète à la 18e place du classement de Ligue 1 avec seulement 10 points en 13 journées. Les supporteurs lillois, d'ordinaire très patients, ont laissé éclater leur colère vendredi en demandant la démission de l'entraîneur Frédéric Antonetti et en s'en prenant aux joueurs, notamment Morgan Amalfitano. En fin de rencontre, ils ont même brandi une banderole "On veut des Dogues, pas des chèvres".

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.