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Ligue 2 : Nîmes écarte son entraîneur Pascal Plancque, remplacé par Nicolas Usaï

Plancque était arrivé au club en janvier 2021, alors que Nîmes était encore en Ligue 1.

Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1 min
Pascal Plancque lors d'un match de Ligue 1 entre le Stade Rennais et le Nîmes Olympique, le 23 mai 2021. (JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP)

Pascal Plancque n'est plus l'entraîneur du Nîmes Olympque, actuel 12e de Ligue 2"Suite à des faits récemment portés à sa connaissance, le Nîmes Olympique a notifié, ce jour, à Pascal Plancque sa mise à pied à titre conservatoire", a annoncé le club gardois dans un bref communiqué, publié le mardi 4 janvier 2022. 

Sollicité par l'AFP, le responsable de la communication du club, relégué en L2 à la fin de saison dernière, n'a pas donné de précisions sur les "faits récemment portés à sa connaissance" reprochés à Pascal Plancque.

Un nouvel entraîneur rompu aux joutes de la Ligue 2

Sans donner les raisons de cette mise à pied à titre conservatoire, le club a rapidement intronisé Nicolas Usaï, 47 ans et natif de Marseille, en lieu et place de Plancque. Libre depuis son départ de Châteauroux, alors en Ligue 2, en décembre 2020, il lui succédera dès mercredi, a précisé la direction du club. Une conférence de presse de présentation aura lieu ce même jour.

"Après avoir entraîné l'Athlético Marseille, Sedan et Châteauroux, Nicolas Usaï prendra les rênes de l'équipe première du Nîmes Olympique dès le mercredi 5 janvier", a indiqué dans la soirée la direction.

Plancque, une petite année et puis s'en va

Arrivé à Nîmes en janvier 2021 comme entraîneur-adjoint de Jérôme Arpinon, qu'il a ensuite remplacé, Plancque, 58 ans, avait réussi à redonner espoir aux Crocos mais n'avait finalement pas pu éviter la descente. Son contrat avait toutefois été prolongé en juin dernier de deux saisons, jusqu'en juin 2023.

Battu par Toulouse (2-1) lors de la 19e journée le 21 décembre, Nîmes compte 15 points de retard sur le leader, l'AC Ajaccio, et seulement 3 d'avance sur le barragiste, le SC Bastia. Des résultats médiocres qui mécontentent le président et actionnaire majoritaire Rani Assaf, qui avait menacé en mai dernier de se retirer du club.

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