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Ligue des champions : inoffensif, Manchester City tenu en échec sur la pelouse de Leipzig

Les Cityzens ont concédé le nul en Allemagne (1-1), mercredi, en huitième de finale aller de Ligue des champions, alors que l'Inter Milan s'est imposé dans la douleur face à Porto (1-0).
Article rédigé par franceinfo: sport, Robin Joanchicoy
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 2min
À l'image de son équipe, Erling Haaland n'est pas parvenu à trouver la solution face au RB Leipzig, mercredi 22 février. (HENDRIK SCHMIDT / DPA)

Après le festival offensif du Real Madrid sur la pelouse de Liverpool (5-2) et le joli coup de Naples à Francfort (2-0), mardi, la dernière soirée des huitièmes de finale aller de Ligue des champions a été beaucoup moins spectaculaire, mercredi 22 février. En supériorité numérique pendant un quart d'heure après l'expulsion d'Otavio, l'Inter Milan a assuré l'essentiel à domicile face à Porto grâce à un but de Lukaku dans les dernières minutes (1-0).

Dans l'autre rencontre de la journée, Erling Haaland et Manchester City étaient très attendus. Les hommes de Pep Guardiola, favoris à la victoire finale en Ligue des champions, n'ont pas réussi à prendre le meilleur sur le RB Leipzig (1-1) au terme d'une prestation bien terne. Peu dangereux devant le but de Janis Blaswich (3 tirs cadrés), ils ont profité d'une formation allemande timorée dans le premier acte et d'une récupération haute de Jack Grealish pour ouvrir le score, grâce à Riyad Mahrez (0-1; 27e).

Haaland isolé, Manchester City sans idées

Inoffensif en première période (1 frappe au but), le RB Leipzig est revenu avec d'autres intentions après la pause, en livrant un gros pressing dans la moitié de terrain adverse. Le club allemand a été récompensé de ses efforts par un but de l'espoir croate Josko Gvardiol, qui s'est envolé très haut sur corner pour égaliser (1-1; 70e). En face, Manchester City n'a pas trouvé de solutions. Symbole du paradoxe de sa saison, Erling Haaland a vécu une soirée particulièrement délicate avec une seule frappe, non cadrée, et 22 ballons touchés. Une situation qui n'a pourtant pas incité Pep Guardiola à changer ses hommes sur la pelouse. Le technicien espagnol devra trouver des solutions pour que son équipe montre autre chose lors du match retour.

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