Cet article date de plus de cinq ans.

Ligue des champions : la fin de match de Lille, "un cauchemar" pour Galtier

Alors que Lille menait au score mardi soir face à Valence, un penalty pour les Espagnols a tout changé. Défaits au final 4-1, les Dogues ont totalement sombré. Pour l'entraîneur des Nordistes, cette fin de match a été un véritable "cauchemar".
Article rédigé par William Vuillez
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
 

La pilule a eu du mal à passer pour Christophe Galtier ce mardi soir. Surtout après avoir vu son équipe du LOSC, dominatrice pendant plus d'une heure, finir par s'incliner (4-1) en encaissant trois buts dans les dix dernières minutes. "On n'a pas fait ce qu'il fallait, car l'addition est lourde. À la 81e, à 1-1, il a fallu prendre des risques sur notre plan de jeu. On a eu une heure de jeu de bonne qualité, par moments de très bonne qualité", a confié l'entraîneur de Lille après la rencontre. 


 

Le penalty du désespoir

Il a suffi d'un penalty, à la 66e minute de jeu, pour permettre à Valence jusque-là dominé, de recoller au score et de miner le moral des Dogues. "On a un tournant, peut-être, à la 52e quand Yusuf (Yazici) a une situation très favorable. Le deuxième est ce penalty qui nous laisse beaucoup de regrets, car il maintient Valence dans le match. C'est un penalty sévère. C'est comme ça, il est sifflé", reconnait Galtier.

En effet, ce penalty a littéralement fait sombrer les Lillois, inexistants et plus du tout lucides dans le dernier quart d'heure. "Jusqu'à la 81e minute, on essaye de rester dans le match, de faire des changements pour être plus percutants. De la 81e à la 90e, c'est un cauchemar. (...) Nos efforts n'ont pas suffi car c'est une défaite lourde si on regarde le résultat sec.", poursuit le coach du LOSC. 

"Il y a à la fois des erreurs défensives assez lourdes, et à ce niveau-là ça ne pardonne pas. Sur le rythme, l'intensité, nous avons progressé sur les quatre matches. Mais sur le fait de concrétiser nos actions favorables, pas assez.", conclut-il. 

Avec AFP. 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.