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Ligue des Champions: Manchester City en balade à Bâle (4-0)

Les Anglais de Manchester City, qui figurent parmi les grands favoris de la Ligue des Champions, n'ont pas fait dans la demi-mesure en allant s'imposer en 8e de finale aller mardi sur la pelouse de Bâle (4-0), au terme d'une rencontre qu'ils ont largement survolée. Avec ce large succès et avant même le match retour dans trois semaines, les Citizens peuvent déjà se projeter vers les quarts de finale.
Article rédigé par franceinfo
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Sûrs de le leur force et d’une grande sérénité, les Citizen ont donné la leçon à une formation suisse qui devait faire un match parfait, avec 200% d’engagement pour pouvoir  instiller une once de doute dans les têtes anglaises. Mais en l’occurrence, les Bâlois ont été bien trop courts, et ont failli dans leur solidité défensive face au rouleau compresseur de City.

Il faut dire que les circonstances du match n’ont guère laissé d’illusion à Bâle : dès la 14e minute, sur un corner tiré par De Bruyne, Gündogan coupait la trajectoire au premier poteau, et sa tête trompait Vaclik. Le gardien du FC.Bâle s’inclinait une nouvelle fois, à peine cinq minutes plus tard : un centre de  Sterling, et le ballon repris par Bernardo Silva qui marquait du pied gauche.

Guardiola l'esprit tranquille

Dès lors, les Anglais ne lâchaient plus la direction des opérations. Les Suisses tentaient bien quelques incursions mais c’était toujours très laborieux pour construire. Au contraire, pour les Citizen, une fois la situation débloquée, face à des adversaires contraints de sortir et de moins en moins compacts, le match devenait vraiment facile. Et à la 23e minute, ils triplaient la mise par une frappe lointaine d’Agüero.

Après la pause, le match baissait d’intensité, City ne poussant pas toujours ses actions jusqu’au bout. A la 53e pourtant, sur une montée d’Agüero, celui-ci trouvait Gündogan en relais ; la frappe du Turc laissait une nouvelle fois Vaclik sans réaction. A 4-0, Pep Guardiola, l'esprit déjà tourné vers la suite, en profitait pour faire souffler Sterling et Kevin De Bruyne, tandis que son équipe déroulait tranquillement le fil d’un match qui semblait bien long pour des Suisses impuissants.

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