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Le PSG garde la Coupe de France

Quoi de mieux qu'un titre pour digérer une élimination en Ligue des champions. Malgré la fatigue d'un troisième match en une semaine, le Paris SG a conservé la Coupe de France messieurs en battant Nantes en finale (32-26), dimanche au stade Pierre-de-Coubertin à Paris. C'est le quatrième titre national remporté par le PSG depuis son rachat en 2012 par le fonds d'investissement Qatar Sports Investments (QSI), après celui de champion de France en 2013, la Coupe de France 2014 et le Trophée des champions 2015.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
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Le PSG Handball  (STEPHANE ALLAMAN / ST?PHANE ALLAMAN)

Rock Feliho a donné le ton d'un match très rugueux avec un gros "bouchon"  d'entrée sur William Accambray. Mais le PSG n'a pas rechigné non plus au combat  dans une partie d'une intensité folle. Après un début de match à l'avantage de Nantes, qui a trouvé plusieurs fois Igor Anic au pivot (7-5, 10e), grâce en particulier à un Alberto Entrerrios  excellent à la passe, le PSG a inversé la tendance. Les Parisiens ont encore haussé leur agressivité défensive. Ceci, conjugué  au réveil de Thierry Omeyer dans ses cages, leur a permis de rester douze  minutes sans encaisser le moindre but entre la 13e et la 25e minute. Avec cette étanchéité défensive, le PSG s'est arrimé solidement en tête  (12-9, 22e), Mikkel Hansen continuant sur sa dynamique de ces dernières  semaines, pendant que Nantes souffrait de ses pertes de balle.

La situation des Nantais a empiré après un début de seconde période animé  par le Parisien Jeffrey Mtima, excellent sur son aile gauche (15-19, 36e). Mais  ils n'ont pas craqué, en continuant à trouver des solutions au pivot (19-20,  42e). Discret jusque-là, Valero Rivera a même brièvement replacé Nantes devant  (23-22, 46e). Mais Mtima, en feu et toujours impeccablement servi par Hansen, a  permis au PSG de repartir de l'avant avec un 3-0 en quatre minutes (27-24, 54e). Nantes ne s'est plus remis de cet éclat, Omeyer repoussant ses dernières  tentatives désespérées pour revenir.

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