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Vidéo Du slip enflammé aux barrières de corail... Les folles aventures de la flamme olympique

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la flamme Olympique: les anecdotes
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Article rédigé par Benoît Jourdain
France Télévisions

D'Olympie, en Grèce, aux villes-hôtes des Jeux olympiques, elle a parcouru des milliers de kilomètres. Des voyages émaillés de quelques anecdotes savoureuses.

La flamme olympique est arrivée en Corée du Sud. Partie le 24 octobre d’Olympie, elle a rallié Incheon, dans la banlieue de Séoul, mercredi 1er novembre. Elle va entamer un voyage de trois mois, jusqu’au 9 février, jour de la cérémonie d’ouverture des JO d’hiver de Pyeongchang. Ce parcours sera peut-être semé d’anecdotes qui viendront s'ajouter à un catalogue déjà bien rempli.

Le slip enflammé et la torche sous-marine

L’idée du relais est attribuée aux nazis qui préparaient les JO de Berlin (1936). L'universitaire Carl Diem, bras droit du patron de ces Jeux, a imaginé un parcours ralliant Olympie à la ville allemande. Pour maintenir la torche allumée, les organisateurs ont alors songé à une tige de fenouil. Mais finalement, ce sera une torche métallique confectionnée par l’aciériste Krupp.

Aux JO de Londres (1948), le dernier relayeur, John Mark, est choisi par l'épouse du roi Georges VI, la reine Elizabeth, pour son physique. Aux JO de Melbourne (1958), un étudiant farceur participe au relais avec une fausse flamme construite avec un bâton, une boîte de conserve et… un slip enflammé. Aux JO de Sydney (2000), la flamme passe quelques minutes sous l’eau pour se rapprocher de la barrière de corail. Et à Turin (2006), son poids –plus de 2 kilos– la rend trop lourde à porter. 

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