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La France candidate à l'expérimentation d'arbitrage vidéo

La Fédération française de football a officialisé jeudi "sa candidature à l'expérimentation d'arbitrage vidéo", sur les deux saisons à venir. Cela dans le cadre des souhaits de mise en place d'un assistance vidéo prônée par la Fédération internationale. Toutefois la FFF rappelle que "seul l'arbitre pourra demander l'avis de l'assistant vidéo: ses décisions ne pourront être modifiées que si les images ne sont sujettes à aucune interprétation et incontestables".
Article rédigé par Christian Grégoire
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
L'assistance vidéo était la grande nouveauté du dernier Mondial. La France est désormais prête à expérimenter cette technologie en championnat.

En France, précise la FFF dans un communiqué, "cette phase d'expérimentation se déroulera sur deux ans et en deux étapes". "Première étape, à partir de novembre 2016: formation et entraînement des arbitres assistants vidéo sur des matches de Ligue 1, sans intervention sur le jeu (offline)", expose l'instance. "Seconde étape, à partir de mars 2017: expérimentation avec intervention sur le jeu (online), en relation avec l'arbitre central et lors de matches tests uniquement", poursuit la Fédération.

Le protocole d'expérimentation de l'IFAB (organe garant des lois du jeu), définit quatre situations de jeu pour lesquelles la vidéo sera utilisée: "Lors d'un but marqué (faute ou hors-jeu), penalty (justesse de la décision, possibilité d'y revenir et d'annuler ou accorder un penalty après visionnage), carton rouge (confirmation de l'exclusion ou non, aggravation de la sanction, exclusion hors champ de vision de l'arbitre), identification du bon joueur devant être sanctionné d'un avertissement ou d'une exclusion".

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