Le Brésil s'interroge
Alors que les forces de l'ordre étaient en cause, celles-ci ont tenu à rétablir les faits en mettant en cause un système faisant appel au secteur privé.
Les forces de l'ordre sont intervenues avec un temps de retard parce que "la sécurité du match était sous la responsabilité d'une société privée engagée par le club Atletico", a ensuite expliqué le porte-parole de la police Adilson Moreira. De son côté, le colonel Lehmkuhl, porte-parole de la police de Santa Catarina, a déclaré "qu'en novembre, le parquet local avait décidé que la police ne devrait plus agir à l'intérieur des stades parce que les matchs reviennent à l'initiative privée, avec un but lucratif et donc leur sécurité doit être assurée par des privés...Mais comme hier il s'agissait d'actes criminels, la police a eu l'obligation d'intervenir et a contrôlé la situation. Nous espérons que la situation se normalise et que la police pourra agir de façon sûre".
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