Cet article date de plus d'onze ans.

Tana Umaga encense les Bleus

L'ancien capitaine des All Blacks Tana Umaga, en visite ce mercredi à l'hôtel du XV de France à Auckland, a confié avoir été "impressionné" du "niveau" des Bleus face aux All Blacks, "après une saison aussi longue". "J'étais vraiment impressionné de les voir à ce niveau après une saison aussi longue. Surtout vu le peu de temps dont ils ont disposé, avec certains joueurs qui venaient de débarquer de la finale de Top 14", a déclaré l'ancien centre (74 sélections).
Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1 min
Tana Umaga, capitaine des Blacks entre 2004 et 2005

"C'est toujours dur et c'est pareil pour les All Blacks quand ils voyagent  en fin de saison: le premier test arrive alors qu'on vient à peine de jouer en  clubs, a-t-il relevé. Ca peut-être un peu brouillon (collectivement) et on l'a  vu." "Mais en terme de rythme, les Français ont été bons", a ajouté Umaga,  saluant notamment "l'intensité autour des rucks" et le "très bon boulot" de  Thierry Dusautoir. Ancien joueur et entraîneur de Toulon entre 2006 et 2010, Umaga était venu  en voisin saluer l'ancien analyste vidéo du RCT Aziz Abaakouk, aujourd'hui  intégré au XV de France, mais aussi Philippe Saint-André, qu'il a côtoyé lors  de la saison 2009-2010 sur la Rade où PSA venait d'arriver comme manager. 

"Il va falloir gérer le froid"

Il en a aussi profité pour retrouver d'anciens partenaires, comme l'ailier  Marc Andreu ou le deuxième ligne Yoann Maestri. L'ancien centre, 40 ans, a également estimé qu'avec cette "nouvelle semaine  d'entraînement des deux côtés, on va voir les choses se mettre davantage en  place dans le jeu", samedi à Christchurch pour le deuxième test. "Ce sera aussi intéressant de voir comment les Français vont gérer le froid  qu'il fait à Christchurch en ce moment", a ajouté Umaga.

Découvrez nos grilles de mots mystères exclusives sur le thème de la Coupe du monde de Rugby

jouer maintenant

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.