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Le XV de France bat l'Angleterre au Stade de France (25-20), en match de préparation à la Coupe du monde

Après un premier "crunch" qui avait tourné à l'avantage de l'Angleterre, les Bleus ont livré une bonne prestation à Saint-Denis, samedi 22 août.

Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
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Le Français Yoann Maestri à la bataille, le 22 août 2015 au Stade de France (Seine-Saint-Denis) face à l'Angleterre. (MIGUEL MEDINA / AFP)

Les Français ont tremblé jusqu'au bout pour s'imposer face aux Anglais (25-20), samedi 22 août au Stade de France. Mais les Bleus décrochent une victoire encourageante à quatre semaines de la Coupe de monde, du 18 septembre au 31 octobre. Une semaine après s'être inclinés contre les mêmes Anglais à Twickenham, ils ont fait la différence par un essai de Yoann Huget, 17 points au pied de Frédéric Michalak et trois autres de Scott Spedding. Et contrairement au premier match, le sélectionneur anglais Stuart Lancaster avait choisi d'aligner son équipe-type face aux Français.

Une fin de match en demi-teinte

Après 25 minutes de jeu, la France affichait 90% d'occupation et 86% de possession, face à des Anglais pris à la gorge et indisciplinés. A la mi-temps, les Bleus, largement dominateurs, menaient logiquement 15 à 6, grâce à cinq pénalités de Frédéric Michalak. La deuxième mi-temps est repartie tambour battant, et les Français ont été récompensés à l'heure de jeu par un bel essai de Yohann Huget (46e) Après l'heure de jeu, la France a toutefois baissé le pied, bien bousculée par les Anglais. Ceux-ci sont parvenus à inscrire deux essais en fin de match, par Danny Cipriani et Jonathan Joseph.

Le Français Frédéric Michalak a profité de la rencontre pour devenir le meilleur buteur de l'histoire de l'équipe de France, devant Titou Lamaison (380 points). "C'était important pour la confiance, avant l'annonce des 31 [sélectionnés pour la Coupe du monde, dimanche]", a-t-il commenté, au micro de France 2. "C'est bon pour la confiance", ajoutait son sélectionneur Philippe Saint-André. En ligne de mire, il vise déjà l'Italie, premier adversaire des Bleus lors de la Coupe du monde, le 19 septembre prochain.

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