XV de France : Antoine Dupont a pris "conscience de l'héritage" de son nouveau statut de capitaine des Bleus
Le demi de mêlée Toulousain va vivre son premier match en tant que capitaine du XV de France samedi face à l'Argentine.
Il a pu étrenner ses nouveaux galons en conférence de presse. Antoine Dupont est revenu vendredi 5 novembre sur son poste de capitaine et sur sa relation avec les arbitres, à la veille du match contre l'Argentine pour la tournée d'automne.
Le joueur de 24 ans assurera le capitanat pour les trois matchs des Bleus en novembre contre l'Argentine (le 6 au Stade de France), la Géorgie (le 14 à Bordeaux) et la Nouvelle-Zélande (le 20 au Stade de France), en l'absence de Charles Ollivon, blessé.
Capitaine du XV de France, Antoine Dupont sera une nouvelle fois l'atout maître de la sélection tricolore face à l'Argentine samedi soir. Avant le choc qui se tiendra au Stade de France, @toutlesport revient sur l'influence grandissante du Toulousain dans le jeu des Bleus. pic.twitter.com/bOks572gRn
— francetvsport (@francetvsport) November 4, 2021
Comment se sont passés vos premiers jours en tant que capitaine?
Antoine Dupont : Cela s'est plutôt bien passé. Cela fait plaisir de se retrouver en Bleu à Marcoussis. Cela faisait longtemps. Ce rôle, ça s'est fait assez naturellement. J'étais déjà leader avant, avec d'autres joueurs. Là, cette fonction supplémentaire n'a pas changé considérablement mon approche. Être capitaine, c'est beaucoup de fierté, c'est quelque chose de fort. Quand on voit les noms qui sont passés avant, on prend conscience de l'héritage. Cela motive à être exemplaire et à donner le meilleur de soi.
Comment allez-vous gérer la relation avec les arbitres ?
C'est une chose à prendre en compte. La relation avec l'arbitre est une donnée importante, encore plus au niveau international. J'ai peut-être moins d'expérience que d'autres capitaines que je vais affronter mais la plupart des arbitres, je les ai déjà croisés, notamment en Coupe d'Europe, et au niveau international. L'arbitre de ce week-end, je le connais, il n'y aura pas de soucis... et j'ai fait des efforts en l'anglais ! (rires).
Vous commencez avec Ntamack et Jalibert, qu'est-ce que ça change d'avoir deux ouvreurs au départ ?
Cela rajoute plusieurs cordes à notre arc, surtout sur le côté offensif. On a deux joueurs capables de prendre les bonnes décisions, de lire les espaces, de faire les bons choix avec une très bonne qualité technique, un très bon jeu au pied aussi. Et ça nous donne encore plus d'options pour jouer devant et derrière la défense.
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