Roland-Garros : le film de la journée

Le Français du jour

Jo-Wilfried Tsonga, le dernier Français encore en lice, s'est qualifié au terme d'un match mené de bout en bout face au Suisse Roger Federer. Le Français s'est imposé en trois sets (7-5 ; 6-3 ; 6-3). Jo-Wilfried Tsonga a pris les commandes dès le début de la rencontre pour éliminer la tête de série numéro deux.

Vendredi, Jo-Wilfried Tsonga rencontrera David Ferrer en demi-finale. 

Les résultats du jour

L'Italienne Sara Errani s'est imposée face à la Polonaise Agnieszka Radwanska. Une victoire en deux sets dans un match très disputé (6-4 ; 7-6). Sara Errani accède donc aux demi-finales du tournoi.

Sara Errani affrontera Serena Williams. L'Américaine a eu du mal à se défaire de la Russe Svetlana Kuznetsova. Une première en dix ans pour Serena Williams. La numéro un mondiale a eu besoin de trois sets (6-1 ; 3-6 ; 6-3).

L'Espagnol David Ferrer a lui facilement disposé de son compatriote Tommy Robredo en trois sets (6-2 ; 6-1 ; 6-1). En demi-finale, il affontera Tsonga.

Le chiffre du jour

36. Comme le nombre de quarts de finale consécutifs disputés en Grand Chelem par Roger Federer . Il s'agit bien sûr d'un record absolu. Durant l'ère Open, le Suisse devance le numéro un actuel Novak Djokovic (15 victoires). Federer est aussi le seul joueur à avoir disputé dix quarts de finale à Roland-Garros.

L'anecdote
du jour

Les tatouages de
Wawrinka. Vivant dans l'ombre de Roger Federer, le Suisse Stanislas Wawrinka
s'est tatoué sur le bras gauche une phrase de Samuel Beckett : "Ever tried.
Ever failed. No matter. Try again. Fail again. Fail
better." (Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Échoue
encore. Échoue mieux).

"Cette citation a
toujours été ma philosophie de vie, explique-t-il. Si tu es joueur de tennis et
que tu ne t'appelles pas Nadal, Djokovic ou Federer, à chaque tournoi que tu
perds, tu dois partir avec du positif malgré la défaite."

Le tweet du jour

Journée importante pour Jo-Wilfried Tsonga . Le numéro un français se mesure à un mur : le Suisse Roger Federer. Alors, pour se donner du courage peut-être, ou pour laisser libre court à son romantisme pré-effort, il s'est fait poète mardi matin. Ou presque.