Transat Jacques Vabre : un départ dans des conditions difficiles
Un départ repoussé, des vagues jusqu’à 2 mètres 50 de hauteur, et des raffales de vent à plus de 55 kilomètres par heure. Les skippers de la Transat Jacques Vabre se souviendront de cette édition. 5 maxi trimarans Ultime, ces géants des mers de plus de 30 mètres ont pu quitter le port du Havre (Seine-Maritime). Pour eux, c’est la course contre la montre et contre la météo, afin d’éviter une grosse dépression atmosphérique et une mer trop âgitée.
Certains sont restés à quais
Fait inédit dans l’histoire de la Transat : les monocoques du Vendée Globe sont obligés de rester à quai. "J’aurais dû être sur l’eau avec les petits copains, on est déçus de pas être parti mais c’était un choix très sage de la part du directeur de course", estime Franck Cammas, quadruple vainqueur. Pour certains voiliers, direction le port de Lorient (Morbihan) pour une escale obligatoire à durée indeterminée.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.