Vendée Globe : rester en contact
Les skippers du Vendée Globe font route vers le cap de Bonne Espérance. Les navigateurs, grâce aux nouvelles technologies, sont en lien constant avec leurs équipes, mais aussi leur famille.
Au douzième jour du Vendée Globe, les coureurs sont au large du Brésil, portés par les alizés, ces vents chauds d'Amérique du Sud. À peine arrivés au quart du tour du monde, une autre course s'engage : celle de l'image. Paul Meilhat immortalise le coucher de soleil. Stéphane Le Diraison nous offre un tour en cuisine. Il est même possible sur internet de suivre presque en direct le déroulé de la course.
Une course sans assistance
Une visibilité incontournable, mais qui fait des grincheux comme Jean Le Cam, neuvième de la course. Pourtant pour les coureurs, le contact avec la terre ferme peut s'avérer utile. À Lorient (Morbihan), dans le hangar de l'équipe d'Armel Le Cléac'h, c'est lui qui est au bout du fil. Son équipe ne peut pas lui donner de consignes, la conversation est anodine. Le Vendée Globe est une course sans assistance, c'est la règle.
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