: Vidéo Renault : pas de "licenciement" ni de "fermeture de site", prévient le gouvernement
Si le gouvernement ne souhaite pas s'immiscer dans les négociations internes qui patinent, il a posé les limites de ces discussions.
Si le gouvernement ne souhaite pas s'immiscer dans les négociations internes qui patinent chez Renault entre les syndicats et la direction, il a posé, mercredi 23 janvier, les limites de ces discussions. "Ce que nous attendons de Renault, c'est qu'il y ait deux lignes rouges (...) pas de licenciement d'une part et qu'il n'y ait pas de fermeture de site", a prévenu le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, sur BFMTV. "Tous les moyens ne sont pas bons dans une négociation. Donc il ne doit pas y avoir de chantage. Il doit y avoir une négociation ferme mais loyale", a estimé le ministre du Travail, Michel Sapin, sur RTL.
Plusieurs délégués syndicaux de Renault ont accusé mardi la direction d'avoir menacé, lors d'une séance de négociations, de fermer deux sites en France en cas d'échec des discussions sur un accord de compétitivité au sein du groupe. Ce qu'a assitôt démenti la direction.
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