Cet article date de plus d'onze ans.

Australie. Il fait tellement chaud que les météorologues ajoutent une couleur aux cartes

Un des relevés météo a indiqué que la température avait dépassé par endroits les 54°C.

Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Le bureau national australien de météorologie a dû recourir à une nouvelle couleur sur ses cartes, pour symboliser les pics de chaleur, mardi 8 janvier 2013.  (WWW.BOM.GOV.AU / FRANCETV INFO)

Le thermomètre grimpe au-dessus des 45°C et la vague de chaleur ne cesse pas en Australie. A tel point que le bureau national de météorologie (en anglais) a dû recourir à une nouvelle couleur sur ses cartes, pour symboliser les pics de chaleur, rapporte mardi 8 janvier le magazine The Atlantic (en anglais). Ainsi, le violet vif a fait son apparition sur un des relevés météo et symbolise des températures supérieures... à 54°C !

 

Le bureau national australien de météorologie a dû recourir à une nouvelle couleur sur ses cartes, pour symboliser les pics de chaleur, mardi 8 janvier 2013.  (WWW.BOM.GOV.AU / FRANCETV INFO)

"L'échelle a été revue aujourd'hui, [...] cette mesure à été prise parce que les prévisions du bureau font état de température dépassant les 50°C", a indiqué le chef du département prévision du bureau national de météorologie, David Jones, interrogé par le The Sydney Morning Herald (lien en anglais.) Selon le spécialiste, le précédent record était établi à 50,7°C, enregistré en 1960 à l'aéroport de Oodnadatta, dans le sud du pays. 

Un risque d'incendies jugé "catastrophique"

Cette vague de chaleur hors du commun combinée aux fortes rafales de vent ont fait de la journée de mardi l'une des plus dangereuses de l'histoire du pays en matière de risques d'incendies. Les autorités ont ainsi mis en alerte des milliers de pompiers, les risques d'incendies ayant atteint le niveau "catastrophique".

DLTFTV_MAM_2893474 (Francetv info)

Consultez lamétéo
avec
voir les prévisions

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.