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Festival : les Francofolies de la Rochelle, tremplin pour les jeunes artistes et terrain de jeu des stars

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Festival : les Francofolies de la Rochelle, tremplin pour les jeunes artistes et terrain de jeu des stars
Festival : les Francofolies de la Rochelle, tremplin pour les jeunes artistes et terrain de jeu des stars Festival : les Francofolies de la Rochelle, tremplin pour les jeunes artistes et terrain de jeu des stars (FRANCE 2)
Article rédigé par France 2 - E.Cornet, F.Blévis, L.Harper, L.Barbier, archives : Morgane Production
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France 2

Direction les Francofolies de la Rochelle, samedi 16 juillet. Le rendez-vous est très prisé par les amateurs de musique, mais aussi par les artistes. Aux "Francos", on fait souvent ses premiers pas, et on aime y revenir quand le succès est déjà là. 

Depuis 37 ans, ls Francofolies ont une recette immuable : des stars confirmées comme Angèle, Calogero ou Gaétan Roussel, promptes à attirer les foules, et de jeunes artistes à l'aube de leur carrière. "Je suis venue pour Calogero, (…) autrement j'aime bien découvrir de nouvelles stars", confirme une membre du public. Pour la première fois, Marie-Flore, auteur-compositeur-interprète, débarque aux Francofolies. Elle est accueillie par Gérard Pont, le directeur du festival. "C'est Bénabar qui disait, 'Passer aux Francos, c'est avoir son diplôme'. Quand elle sera tête d'affiche sur la grande scène, on sera content d'avoir fait des pas avec elle", confie-t-il. 

Une institution 

Pour Marie-Flore, les Francos, c'est "le passage obligé". Gaétan Roussel, auteur-compositeur-interprète, fait quant à lui partie de la longue et prestigieuse liste des artistes qui ont marqué de leur empreint l'histoire du festival. C'est un habitué, que ce soit en solo ou avec son groupe, Louise Attaque. En 1998, il partageait la scène avec un autre débutant de l'époque, Matthieu Chedid, alias M. "Je me rappelle que plus jeune, je voyais les affiches et je me disais : "Si on pouvait passer là, ce serait quand même bien", confie Gaétan Roussel. D'autres y ont eu le déclic. C'est le cas de Patrick Bruel, qui a écrit Casser la voix après avoir vu un concert de Jacques Higelin. 

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