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Vidéo Business : "les investissements chinois : on a tout à y gagner" selon Harold Parisot

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À l’occasion du nouvel an chinois, Jean-Paul Chapel reçoit Harold Parisot, président du Chinese Business Club, dans ":L’éco" jeudi 9 février. Investissements chinois : entre amitié et business.
Business : "les investissements chinois : on a tout à y gagner" selon Harold Parisot À l’occasion du nouvel an chinois, Jean-Paul Chapel reçoit Harold Parisot, président du Chinese Business Club, dans ":L’éco" jeudi 9 février. Investissements chinois : entre amitié et business. (FRANCEINFO)
Article rédigé par franceinfo - Maurine Bajac
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À l’occasion du nouvel an chinois, Jean-Paul Chapel reçoit Harold Parisot, président du Chinese Business Club, dans ":L’éco" jeudi 9 février. Investissements chinois : entre amitié et business.

"L’objectif est de faire du lobbying à haut niveau entre des leaders d’opinion français et chinois pour qu’il y ait plus d’investisseurs chinois en France et inversement. Il y a vraiment un intérêt mutuel" c’est Harold Parisot, président du Chinese Business Club, qui l’affirme jeudi 9 février sur le canapé gris de ":L’éco".

Il ajoute : "je pars du principe que s’ils ne viennent pas chez nous ils iront chez les voisins : Londres, Madrid, Lisbonne, Genève…

"On n'a pas le choix !"

En réponse à la Question qui fâche concernant la méfiance à l’égard des investissements chinois dans nos fleurons nationaux, le président du Chinese Business Club se défend : "le club est pragmatique : les gens sont là uniquement pour faire du business et c’est du concret. On n’a pas le choix ! Aujourd’hui on a des sociétés françaises en difficulté qui ont besoin de ressources financières. On a de la chance d’avoir des investisseurs étrangers, notamment chinois, qui s’intéressent à nous. Donc saisissons cette opportunité !"

Actionnaire majoritaire du Club Med, minoritaire chez Engie, Total ou PSA, l’investissement chinois suscite la méfiance : "les chinois ont une logique d’investissement sur le long terme, et ça pour nous on a tout à y gagner. Sur des investissements comme le Club Med, on était bien content que des chinois s’intéressent à nous. Mais il y a parfois un manque de communication, un manque de transparence. Les chinois ne communiquent pas toujours sur leurs intentions mais elles sont plutôt bonnes."

Comme à son habitude, Jean-Paul Chapel termine l’interview par la chanson préférée de l’invité. Harold Parisot a choisi Ordinary Love, du groupe U2.


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