Emploi : 24 heures dans la peau d’un steward
Profession : journaliste. Métier : saisonnier. Pour le 20 Heures, Paul-Luc Monnier va travailler tout l’été. Pour le premier épisode, le journaliste va enfiler le costume de steward dans une compagnie aérienne. Au sein de l’équipe, le tutoiement est de rigueur. Comme lui et Élodie, 20% des hôtesses et stewards sont saisonniers cet été. Le salaire de départ est de 1 400 euros nets hors prime, à condition d’avoir suivi une visite médicale et une formation à 2 000 euros.
Un rythme soutenu
Le premier vol de la journée affiche complet : 13h40, direction Berlin. Dans les airs, il faut un bon niveau d’anglais. Et dans l’avion, ça bouge, il y a du bruit. Pour les saisonniers comme Élodie, le service est une source de revenus supplémentaires. Les hôtesses se partagent 10% des ventes sous forme de prime. Pas le temps de s’attarder : il y a 189 sièges à nettoyer et à repréparer.
Après le vol de retour, quel est le bilan ? Avantages : le travail d’équipe, les rencontres et les voyages. Inconvénients : le rythme soutenu (parfois 20 vols par semaine), la fatigue, et l’impact sur l’environnement. Pour Paul-Luc Monnier, la journée s’arrête ici. Pour découvrir son prochain lieu de travail, rendez-vous la semaine prochaine.
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