Présidentielle 2022 : revivez l'interview de Marine Le Pen sur France 2 et sur la chaine Twitch de France Télévisions
:quality(50)/2021/12/14/61b8b98c7160d_elise-lambert.png)
La candidate du Rassemblement national était l'invitée de l'interview politique "20h22", lundi 7 février. Elle a ensuite répondu aux questions des utilisateurs de la plateforme Twitch.
Ce qu'il faut savoir
"Je suis prête, parce que j'ai un parcours." A près de deux mois de l'élection présidentielle, Marine Le Pen était l'invitée de l'interview politique "20h22" du journal de 20 heures de France 2 et de la chaîne de France Télévisions sur Twitch, lundi 7 février. La candidate du Rassemblement national était attendue sur des sujets phares tels que la santé, la fiscalité, le pouvoir d’achat et la jeunesse. Mais également sur sa stratégie pour remobiliser ses troupes, après le ralliement à Eric Zemmour de plusieurs cadres de son camp. Sur France 2, l'interview a été menée par Anne-Sophie Lapix, Mohamed Bouhafsi et Nathalie Saint-Cricq. Dans la foulée de cette interview, Marine Le Pen a répondu aux questions des viewers sur Twitch. Samuel Etienne et Alix Bouilhaguet animeront cet échange.
Des sondages à la baisse. Si jusqu'à présent Marine Le Pen devançait Eric Zemmour, le plus récent sondage Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et Le Parisien Aujourd'hui-en-France les place désormais à égalité avec 14% d'intentions de vote. La candidate RN perd trois points tandis qu'Eric Zemmour en gagne deux. Valérie Pécresse passe en deuxième position avec 16,5%, et Emmanuel Macron reste en tête avec 24%.
Des parrainages manquants. Les candidats à la présidentielle ont jusqu'au 4 mars pour obtenir les 500 parrainages nécessaires pour se présenter. Pour le RN, le compte est loin d'être bon. Au 3 février, le Conseil constitutionnel n'avait reçu que 35 signatures en faveur de Marine Le Pen. Si le Rassemblement national revendique 430 promesses d'élus locaux, il reste moins d'un mois pour trouver les 70 parrainages restants.
Une rémunération questionnée. Alors que Marine Le Pen s'est mise en retrait de son poste de présidente du RN le temps de la campagne, et que Jordan Bardella la remplace, la candidate perçoit toujours la rémunération associée à ce poste, a révélé Libération vendredi. "Ce n'est pas une rémunération, c'est une indemnisation", un "remboursement forfaitaire de frais" qu'elle touche en tant qu'"actrice de premier plan du mouvement", a expliqué Jordan Bardella, interrogé à ce sujet sur BFMTV lundi. Il a reconnu qu'il assurait l'intérim "bénévolement".
