Cold cases, la science face au crime (6/8) : "L'affaire Élodie Kulik et l'ADN de parentèle"
Le 10 janvier 2002, Élodie Kulik, 24 ans, dîne dans un restaurant avec un ami avant de rentrer chez elle à Péronne dans la Somme. Sur la route, la jeune directrice d’agence bancaire est prise en chasse. On la retrouvera violée, étranglée et brûlée. Malgré un profil ADN recueilli sur la scène de crime et la voix désespérée d’Elodie aux pompiers où l’on entend ses deux ravisseurs, il faudra attendre plus de dix ans et l’idée de génie d’un enquêteur de la gendarmerie pour que le meurtre soit résolu, grâce à l’ADN de parentèle. Une première en France.