Cet article date de plus de deux ans.

Vidéo Nordahl Lelandais au cœur d'une nouvelle affaire

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Enquête : Nordahl Lelandais au cœur d’une nouvelle affaire
Enquête : Nordahl Lelandais au cœur d’une nouvelle affaire Enquête : Nordahl Lelandais au cœur d’une nouvelle affaire (France 2)
Article rédigé par France 2 - N.Perez, D.Sébastien, A.Fischer, P.Evêque, O.Darmostoupe, E.de Pourquery, F.Cardoen
France Télévisions
France 2

Le pôle judiciaire consacré aux cold cases, les affaires non élucidées, a ouvert sept informations judiciaires suivant parfois la piste de récidiviste.  Ainsi, Nordahl Lelandais condamné pour les meurtres de la petite Maëlys et d'Arthur Noyer, pourrait être un suspect dans l'enquête sur la disparition de Loïc Guérin.

Nordahl Lelandais, déjà condamné pour le meurtre d'Arthur Noyer et de la petite Maëlys en février dernier, intéresse aujourd’hui la justice dans une disparition. Une lettre anonyme le met en cause au cœur d'une nouvelle affaire. Le destinataire du courrier anonyme est Bernard Valezy, président d’une association de proche de disparu. La lettre va attirer son attention par des détails inconnus du grand public. "Pour la première fois, on recevait un écrit faisant un lien entre l’activité de Nordahl Lelandais et de ses chiens, et la disparition d’une personne", décrit-il.

Des nouveaux éléments troublants

L’auteur de la lettre se présente comme un ami de Nordahl Lelandais. En 2012, ils avaient l'habitude de promener leurs chiens ensemble dans la forêt de la Chartreuse. Un après-midi de septembre, alors qu’ils étaient en voiture, un homme "bizarre" se dresse devant eux sur la route. Nordahl Lelandais l’insulte puis lâche ses trois chiens à sa poursuite. Le témoin anonyme écrit ne plus avoir revu l’homme ensuite. Le 13 octobre 2012, un corps a été découvert au pied d’une falaise. Il s’agit de Loïc Guérin, 43 ans, autiste. L’enquête conclue à un accident. Mais cette lettre pourrait changer les choses étant donné des éléments troublants.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.