Un jour en France : retour sur 24 heures d’actualité dans l’Hexagone

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La rubrique "Un jour en France" du 20 Heures revient sur 24 heures d'actualité nationale. Au programme du dimanche 7 avril, un brancardier, agressé et grièvement blessé le samedi 6 avril et les créatures bleues malodorantes qui envahissent les plages marseillaises.
Un jour en France : retour sur 24 heures d’actualité dans l’Hexagone La rubrique "Un jour en France" du 20 Heures revient sur 24 heures d'actualité nationale. Au programme du dimanche 7 avril, un brancardier, agressé et grièvement blessé le samedi 6 avril et les créatures bleues malodorantes qui envahissent les plages marseillaises. (France 2)
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La rubrique "Un jour en France" du 20 Heures revient sur 24 heures d'actualité nationale. Au programme du dimanche 7 avril, un brancardier, agressé et grièvement blessé le samedi 6 avril et les créatures bleues malodorantes qui envahissent les plages marseillaises.

Une agression ultraviolente. Un brancardier a été pris à partie par des proches de patients à l’hôpital de Challans en Vendée le samedi 6 avril. Son état est aujourd’hui stabilisé, mais il a été placé en soins intensifs.

"Il est choqué et dans l’incompréhension totale, le coup porté est d’une extrême-violence", explique Francis saint Hubert, directeur du centre hospitalier départemental de la Vendée. Une enquête a été ouverte, le principal suspect est toujours activement recherché. 

Visage dissimulé, l’homme d’une vingtaine d’années suspecté d’être le violeur à la trottinette est déféré au Palais de justice de Grenoble. Il a été mis en examen ce dimanche soir et placé en détention provisoire, notamment pour deux viols. L'accusation ne correspond pas à son profil selon son avocat. Après plusieurs semaines d’enquête, c’est une analyse ADN qui a permis de le confondre dans une des affaires.

Mauvaises odeurs sur les plages 

Rares sont ceux qui s’aventurent sur les plages marseillaises en ce moment. Elles sont peuplées de vélelles, des petits animaux marins à l’odeur très désagréable. "Ça sent le poisson mort", témoigne un joggeur. Ces espèces ont été déplacées par les vents, elles ne représentent aucun danger pour l’Homme.

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