: Vidéo "On ne peut pas accepter qu'on s'en prenne à un journal", déclare Valls
Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, s'est rendu sur les lieux de la fusillade, dans les locaux du journal "Libération".
"On ne peut pas accepter qu'on s'en prenne à un journal." Après la fusillade survenue lundi 18 novembre dans les locaux de Libération, Manuel Valls a assuré que la police allait "tout faire" pour interpeller rapidement l'auteur des coups de feu, qui a grièvement blessé un assistant photographe.
"L'individu court, il représente un véritable danger, a déclaré le ministre de l'Intérieur lors d'un point presse devant le siège du journal, nous ferons tout pour interpeller cet individu." Manuel Valls a aussi évoqué une "scène de guerre" dans le hall de Libération après cette fusillade, d'une "très grande violence", qui n'avait "rien à voir avec la démocratie".
"Tout le monde est mobilisé" autour de Libération "pour recueillir le maximum d'éléments", a-t-il ajouté. Interrogé pour savoir s'il s'agissait du même individu que celui qui s'est présenté armé vendredi à BFMTV, Manuel Valls n'a pas répondu. "Tous les éléments vont évidemment être recoupés", a-t-il dit.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.