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Guyane : un gendarme du GIGN tué lors d'une opération contre des chercheurs d'or clandestins, Emmanuel Macron exprime "sa grande émotion"

Le gendarme participait à une opération de lutte contre l'orpaillage illégal en Guyane.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié Mis à jour
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Un gendarme du GIGN, le 15 octobre 2019, à Paris. (THOMAS SAMSON / AFP)

Un gendarme du GIGN a été tué lors d'une mission de lutte contre l'orpaillage illégal en Guyane, samedi 25 mars. "Le Maréchal des logis-chef Arnaud Blanc est tombé sous le feu", a annoncé Emmanuel Macron sur Twitter. Le président de la République a salué "avec émotion son courage et son engagement". "Mes condoléances à sa compagne et ses deux enfants, à sa famille et ses camarades", a-t-il ajouté.

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a également exprimé sa "très vive émotion" sur Twitter, adressant ses "sincères condoléances et tout mon soutien à sa famille, à ses proches et à ses camarades". Un peu plus tôt dans la journée, le site Actu17 rapportait qu'un militaire de l'antenne du groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) avait été tué par balle lors d'une opération, dans la nuit de vendredi à samedi.

Le groupe s'est "fait prendre à partie par une bande armée", a appris France Télévisions auprès de la gendarmerie, qui précise qu'Arnaud Blanc a été "mortellement touché par balle"Le gendarme était sous-officier de gendarmerie de l’antenne GIGN de Cayenne
et participait à "une mission avec nos forces armées à Maripasoula (à la frontière ouest avec le Suriname) afin de lutter contre l’orpaillage illégal", précise l'Elysée dans un communiqué. Le gendarme était engagé depuis 2009 au sein de la gendarmerie nationale et servait à Cayenne depuis 2019. 

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