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L'une des victimes présumées de l'ancien ministre Georges Tron a porté plainte après le cambriolage de son appartement

L'ex-attachée parlementaire du député-maire UMP de Draveil, qui a témoigné dans l'affaire Tron mais n'est pas plaignante, a déclaré que le vol était daté de la nuit de samedi à dimanche.Interrogée par Le Parisien, elle a assuré qu'"un documentconcernant l'affaire Tron s'est volatilisé. Il contenait des informations importantes".
Article rédigé par France2.fr avec AFP
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Georges Tron (AFP / Bertrand Guay)

L'ex-attachée parlementaire du député-maire UMP de Draveil, qui a témoigné dans l'affaire Tron mais n'est pas plaignante, a déclaré que le vol était daté de la nuit de samedi à dimanche.

Interrogée par Le Parisien, elle a assuré qu'"un document
concernant l'affaire Tron s'est volatilisé. Il contenait des informations importantes".

Elle a précisé avoir regagné son domicile vers 23H45 samedi soir
et l'avoir retrouvé "sens dessus dessous". "Des bijoux, un ordinateur et un écran plat ont été volés", affirme-t-elle au Parisien.

Georges Tron , 53 ans, député-maire UMP de Draveil (Essonne), avait dû quitter le gouvernement après la plainte de deux ex-employées municipales, avant d'être placé en garde à vue puis mis en examen pour viols et agressions sexuelles en réunion par personne ayant autorité et laissé libre sous contrôle judiciaire.

Fin juin, l'ex-attachée parlementaire de M. Tron avait protesté contre la mise en liberté sous contrôle judiciaire de l'ex-secrétaire d'Etat à la Fonction publique, se disant victime de "menaces".

Elle avait affirmé sur BFMTV avoir "été victime, lors de la Fête de la musique, de menace de mort par le compagnon d'une des maires adjointes de M. Georges Tron ". Il "a mis son doigt sur sa gorge comme s'il me disait que j'allais avoir la gorge coupée", avait-elle raconté.

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