La police parisienne révèle ses histoires les plus insolites
Touristes dénudés, chauffards rancuniers... Dans sa lettre hebdomadaire, la "PP" publie un best of des anecdotes des policiers de la capitale depuis 2008.
La lettre hebdomadaire de la préfecture de police (PP) de Paris, PPRama, célèbre mercredi 2 janvier la nouvelle année en publiant le "best of" de ses histoires les plus insolites (lien en pdf). Francetv info en reprend quelques-unes.
Les plus dénudés
En août 2010, deux jeunes touristes danois, pris d'une fringale au petit matin après une nuit blanche, ont quitté leur chambre d'hôtel vêtus de leurs seules chaussures pour se rendre dans une boulangerie avant de déambuler dans le quartier, la baguette à l'air.
Le plus audacieux
En mars 2009, un motard verbalisé pour excès de vitesse est revenu vingt minutes plus tard sur le point de contrôle. Il a alors, en toute discrétion, volé la souche du PV qui lui avait été dressé. Tout ça pour rien : il a non seulement été arrêté mais il s'est aussi aperçu qu'il s'était emparé d'un carnet de contraventions vierge. Mauvaise pioche.
Le plus aérodynamique
En avril 2010, un motard circule sur le périphérique. A 190 km/h. Avec un bras dans le plâtre.
Le plus rancunier
En mars 2010, alors qu'on le verbalise, un automobiliste parvient à crever discrètement les pneus du véhicule des agents et à s'enfuir. La fin de l'histoire est un pschiiit : l'homme est interpellé en récupérant sa voiture à la fourrière.
Le plus de points en moins
En mars 2010, PPRama revient sur l'histoire d'un automobiliste flashé à 206 reprises au volant de sa voiture de fonction. Facture : 450 points en moins, soit plus de 37 permis à 12 points.
Le plus exotique
En juillet 2012, la brigade fluviale repêche le cadavre d'un python de 40 kilos et 3 mètres de long dans la Seine. Belle prise.
Les plus écologiques
En août 2011, les stars sont des chèvres naines qui assurent l'entretien d'un terrain du laboratoire central de la PP, implanté dans l'Essonne. Les plus économiques aussi ?
Les plus rapaces
Toujours au rayon animalier, en mai 2012, des faucons sont utilisés à l'occasion des internationaux de tennis de Roland Garros pour repousser les pigeons et empêcher que ces derniers ne se trouvent sur le trajet des balles.
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