Réseaux sociaux : X (ex-Twitter) est-il devenu toxique et complotiste ?

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C’est une épidémie qui se propage très vite. Les entreprises, les titres de presse et les particuliers quittent le réseau social X (ex-Twitter). Sud Ouest est le deuxième titre de presse qui a décidé de claquer la porte du réseau social X (ex-Twitter). Nicolas Sterckx, le directeur général du groupe Sud Ouest, était l’invité de France Info.
Réseaux sociaux : X (ex-Twitter) est il devenu toxique et complotiste ? C’est une épidémie qui se propage très vite. Les entreprises, les titres de presse et les particuliers quittent le réseau social X (ex-Twitter). Sud Ouest est le deuxième titre de presse qui a décidé de claquer la porte du réseau social X (ex-Twitter). Nicolas Sterckx, le directeur général du groupe Sud Ouest, était l’invité de France Info. (Franceinfo)
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C’est une épidémie qui se propage très vite. Les entreprises, les titres de presse et les particuliers quittent le réseau social X (ex-Twitter). Sud Ouest est le deuxième titre de presse qui a décidé de claquer la porte du réseau social X (ex-Twitter). Nicolas Sterckx, le directeur général du groupe Sud Ouest, était l’invité de France Info.

Avec 800 000 abonnés sur le réseau social X (ex-Twitter), le groupe Sud-Ouest semble perdre une belle visibilité, tout du moins dans l’univers des réseaux sociaux. Le titre dispose en effet de quatre fois plus d’abonnés sur X que le nombre de titres écoulés chaque jour. Une proportion qu’il faut relativiser pour le directeur général du groupe de presse : “Nous regardons aussi les audiences et celles qui viennent de Twitter représentent moins de 0,1 % de notre audience."

Les raisons de l’exode

Depuis l’acquisition du réseau social par le milliardaire américain Elon Musk, les réseaux sociaux Twitter — devenus ensuite X — ont beaucoup changé : “Nous avons de plus en plus de mal avec la dérégulation, l’absence de modération, le fait que les contenus payants soient plus mis en avant que les contenus sérieux in fine”, déplore Nicolas Sterckx.

“Nous sommes un organe régional. Nous avons 370 journalistes qui accomplissent un travail sérieux tous les jours et quelque part, on ne s’y retrouve pas et on n’arrive pas à trouver notre place dans cet écosystème”, poursuit-il.

Regardez l'intégralité de l’interview dans la vidéo ci-dessus.

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