Cérémonie d’ouverture : "C’était assez anarchique (…) donc hyper français", observe le journaliste britannique Stephen Clarke

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Cérémonie d’ouverture : "C’était assez anarchique (…) donc hyper français", observe le journaliste britannique Stephen Clarke
Cérémonie d’ouverture : "C’était assez anarchique (…) donc hyper français", observe le journaliste britannique Stephen Clarke Cérémonie d’ouverture : "C’était assez anarchique (…) donc hyper français", observe le journaliste britannique Stephen Clarke (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Vendredi 26 juillet, la France a réussi la prouesse de réaliser un show sur la Seine, ponctué de passages marquants. Stephen Clarke, journaliste et écrivain britannique, auteur de "God save la France" (éd. Pocket), a donné son sentiment pour le 12/13 info week-end.

Comment la cérémonie d’ouverture a été perçue par les spectateurs d'outre-Manche ? "Je suis Anglais donc j’ai tout comparé avec Londres il y a 12 ans", explique le journaliste et écrivain britannique Stephen Clarke. "J'ai trouvé un peu bizarre de mettre une pub pour des bagages au milieu. Il y avait un gros plan sur marque de bagages de luxe. C’était surtout très étonnant de voir Paris mis en scène", poursuit-il, décrivant au contraire les événements anglo-saxons comme "un spectacle très uni".

La guillotine, "bizarre dans un événement joyeux"

Pour Stephen Clarke, le spectacle en douze tableaux, dont le fil rouge était un mystérieux porteur de flamme, "était assez anarchique, comme votre réseau ferroviaire en ce moment, donc hyper français." Le journaliste anglais a été moins convaincu par le tableau montrant Marie-Antoinette décapitée. "Montrer quelqu’un de décapité sur scène, ça fait bizarre dans un événement joyeux. Rendre la guillotine comme si ça faisait partie d’un spectacle, c’est un peu curieux", conclut-il.

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