Cet article date de plus d'un an.

CNOSF : David Lappartient deuxième candidat déclaré au Comité olympique français

Après Emmanuelle Bonnet-Oulaldj, le président de l'Union cycliste internationale (UCI), également membre du CIO, s'est officiellement présenté, vendredi, comme candidat à la présidence du Comité national olympique et sportif français.
Article rédigé par franceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
Le président de l'UCI et membre du CIO, David Lappartient, le 22 septembre 2022, lors des Championnats du monde de cyclisme sur route. (WILLIAM WEST / AFP)

La bataille est officiellement lancée. David Lappartient a annoncé sa candidature à la présidence du Comité national olympique et sportif français (CNOSF), vendredi 16 juin, pour prendre la succession de Brigitte Henriques, qui avait mis un terme à son mandat le 25 mai dernier, à un peu plus d'un an des Jeux olympiques de Paris en 2024.

En vue de l'élection prévue le 29 juin, David Lappartient a adressé une lettre aux présidents de fédérations et aux membres du conseil d'administration pour annoncer et expliquer sa décision. Il y décrit la nécessité "de pacifier les relations et de favoriser le rassemblement de tous les acteurs du sport français. Je pense avoir la capacité de garantir ce rassemblement", rapporte L'Equipe.

Un deuxième candidat déclaré

La candidature du président de l'Union cycliste internationale (UCI) et membre du Comité internationale olympique (CIO) fait suite à celle d'Emmanuelle Bonnet-Oulaldj, présidente de la Fédération sportive et gymnique du travail (FSGT). Cette dernière, déjà candidate en 2021 (arrivée en troisième position avec près de 17% des suffrages), avait écrit dans un courrier, consulté par l'AFP mercredi 14 juin, qu'elle voulait "oeuvrer résolument au dépassement des divisions internes et (...) créer les conditions d'une gouvernance apaisée".

Les autres membres du CA ont encore le droit de se présenter avant le 26 juin. Le vote du 29 juin se fera à bulletins secrets, au scrutin majoritaire uninominal à deux tours. Le mandat du nouveau président devra ensuite être confirmé par un vote d'une assemblée générale, convoquée le 13 septembre. Il prendra fin au terme de l'actuelle mandature, en 2025.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.