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David Lappartient élu président du Comité olympique français à un an des Jeux de Paris 2024

Le conseil d'administration de l'instance s'est réuni, jeudi, pour procéder à l'élection d'un nouveau président, un mois après la démission de Brigitte Henriques.
Article rédigé par franceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
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David Lappartient lors d'une conférence de presse à Berlin, le 1er mars 2020. (SEBASTIAN GOLLNOW / AFP)

La nouvelle tête du Comité olympique français, c'est lui. David Lappartient, 50 ans, a été élu à la tête du Comité national olympique et sportif français (CNOSF), jeudi 29 juin par le conseil d'administration, après huit mois de crise, et à presque un an du début des Jeux olympiques à Paris. Avec un total de 36 voix en sa faveur sur 45, soit 80% des voix, il a battu lors de cette élection Emmanuelle Bonnet-Oulaldj, son adversaire qui était arrivée en troisième position lors de l'élection en 2021 et qui a recueilli huit voix, un élu s'étant abstenu.

Il succède à Brigitte Henriques, qui a démissionné après plusieurs mois de crise interne. Le nouveau président arrive dans un contexte difficile avec les récentes perquisitions menées au siège de Paris 2024 pour des soupçons de corruption.
Paris 2024 : David Lappartient élu président du Comité olympique français Il succède à Brigitte Henriques, qui a démissionné après plusieurs mois de crise interne. Le nouveau président arrive dans un contexte difficile avec les récentes perquisitions menées au siège de Paris 2024 pour des soupçons de corruption.

Le mandat du nouveau président devra être confirmé par un vote d'une assemblée générale, programmé le 13 septembre. Il succède ainsi à Brigitte Henriques et occupera la fonction jusqu'en 2025, terme de la présente mandature.

Déjà président de l'Union cycliste internationale (UCI) et membre du Comité international olympique (CIO), mais aussi conseiller départemental du Morbihan, David Lappartient ajoute un nouveau mandat à ses nombreuses responsabilités politiques et sportives. Lors de l'annonce de sa candidature, il avait insisté sur sa volonté "de pacifier les relations et de favoriser le rassemblement de tous les acteurs du sport français."

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