Paris 2024 : une sécurité renforcée pour la délégation israélienne

Publié
Durée de la vidéo : 2 min
Les athlètes israéliens, arrivés lundi soir au village olympique, bénéficient d'une protection inédite pour garantir leur sécurité. Des menaces ont été envoyées, prises très au sérieux par le ministère de l'Intérieur.
Paris 2024 : une sécurité renforcée pour la délégation israélienne Les athlètes israéliens, arrivés lundi soir au village olympique, bénéficient d'une protection inédite pour garantir leur sécurité. Des menaces ont été envoyées, prises très au sérieux par le ministère de l'Intérieur. (France 2)
Article rédigé par France 2 - D. Schlienger, M. Boisseau, P. Maire, L. Krikorian, R. Laurentin
France Télévisions
France 2
Les athlètes israéliens, arrivés lundi soir au village olympique, bénéficient d'une protection inédite pour garantir leur sécurité. Des menaces ont été envoyées, prises très au sérieux par le ministère de l'Intérieur.

Au village olympique, les athlètes sont sous surveillance constante, de l'entrée, au toit. L'objectif est d'éviter toute intrusion. Mais pour un bâtiment précis, la sécurité est encore plus drastique : celui où loge la délégation d'Israël. C'est l'un des seuls à être placé sous vidéosurveillance 24h sur 24. L'entrée est gardée par des forces de l'ordre en civil. "Tout a été travaillé pour que la délégation israélienne puisse arriver en toute sérénité", assure Laurent Michaud, directeur du village olympique.

L'ombre des JO de Munich

Depuis leur arrivée lundi 22 juillet, les sportifs de l'État hébreu sont sous haute protection. Le ministère de l'Intérieur a annoncé une présence en permanence du GIGN. Les JO de Munich de 1972 sont dans toutes les mémoires. Des athlètes israéliens avaient été pris en otage. Au total, 17 personnes avaient perdu la vie. Ce mardi matin, les journalistes étaient donc systématiquement fouillés pour l'entraînement de l'équipe de football israélienne. Au bord du terrain, presque autant d'agents en uniforme et en civil que d'athlètes.

À regarder

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.