"Ce sont des Jeux magnifiques, grandioses qui resteront gravés dans la mémoire olympique", déclare Charles Coste, doyen des médaillés français

À 100 ans, Charles Coste soutient les athlètes français. Le champion olympique de cyclisme sur piste en 1948 a donné le dernier relais de la flamme lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024.
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À l'âge de 100 ans, Charles Coste est le doyen des médaillés olympiques français. (NICOLAS PIQUET / RADIOFRANCE)

"Je suis très heureux de pouvoir assister à ces Jeux. Ce sont des Jeux magnifiques, grandioses qui resteront gravés dans la mémoire olympique", déclare dimanche 4 août au soir sur franceinfo Charles Coste, 100 ans, doyen des médaillés olympiques français, ancien cycliste et porteur de la Flamme olympique lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux le 26 juillet.

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Charles Coste se souvient qu'à son époque, "ça n'était pas des Jeux aussi grandioses qu'aujourd'hui". Questionné sur les médailles françaises remportées le samedi 3 août en cyclisme sur route par Valentin Madouas (argent) et Christophe Laporte (bronze), Charles Coste assure avoir "suivi ça de près". Il espérait que Valentin Madouas l'emporte. "Ça aurait été une belle récompense pour lui" mais l'ancien cycliste relativise : "Les Français ont fait deuxième et troisième c'est déjà une belle performance."

Charles Coste raconte qu'il ira mercredi 7 août à Saint-Quentin-en-Yvelines (Yvelines) voir le cyclisme sur piste. Le médaillé d'or à Londres en 1948 en poursuite par équipe et ancien coureur du Tour de France espère qu'il "portera chance à l'équipe de France". "Je leur souhaite la médaille d'or", lance-t-il.

"Je ne m'attendais pas à être le dernier porteur de la flamme et la passer à Teddy Riner et Marie-José Pérec."

Charles Coste, doyen des médaillés olympiques français

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Concernant la vasque olympique allumée vendredi 26 juillet, il revient sur ce "moment magique", "gravé à tout jamais dans [sa] mémoire". "Je ne m'attendais pas à être le dernier porteur de la flamme et la passer à Teddy Riner et Marie-José Pérec, raconte-t-il. C'est un souvenir inoubliable et je suis très fier de l'avoir fait".

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